fanatisme

Que l’homme perde sa faculté d’indifférence : il devient assassin virtuel ; qu’il transforme son idée en dieu ; les conséquences en sont incalculables. On ne tue qu’au nom d’un dieu ou de ses contrefaçons. Les époques de ferveur excellent en exploits sanguinaires : Ste-Thérèse ne pouvait qu’être contemporaine des autodafés, et Luther du massacre des paysans…