femme

Il y a chez Laura un côté « île heureuse » qui doit sans doute beaucoup à son Brésil natal mais encore plus à ses rapports confiants avec la vie. Laura ouvre chaque matin la fenêtre au jour qui se lève comme si ce vieux traînard l’attendait depuis l’aube les bras chargés de dons. Les yeux sont d’une gaieté brune et chaude sous des sourcils presque droits dont elle préserve l’épaisseur…