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[…] notre thèse serait la suivante : les grandes sociétés modernes ne peuvent plus produire que marginalement leur synthèse politique et culturelle par le biais des médias littéraires, épistolaires et humanistes. Cela ne signifie en aucune manière que la littérature soit arrivée à son terme, mais elle s’est affinée pour devenir une sous-culture sui generis et les jours sont révolus, où on la surestimait en la considérant comme le vecteur des génies nationaux.